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 Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi

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MessageSujet: Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi   Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi EmptyDim 14 Fév - 11:34



Dominick ‘Sonny’ Carisi


INTRODUCE YOURSELF

« Say what you want about Staten Island, at least the people there look out for each other. »
NOM & PRÉNOM :
Dominick Carisi de son nom complet, on l’appelle si peu par son prénom de naissance qu’il pourrait Presque finir par l’oublier.
SURNOM :
Ses soeurs l’appellent Sonny depuis qu’il est tout petit, un surnom qu’il préfère largement à son prénom, et qu’il essaye de convaincre tout le monde d’utiliser. Malheureusement, les gens ont plutôt tendance à l’appeler sobrement par son nom de famille – mais il ne renonce pas et continue de se présenter en précisant ‘call me Sonny’.
ÂGE :
Il vient de célébrer ses 36 ans.
DATE & LIEU DE NAISSANCE :
Il est né à Staten Island le 2 Février 1980, dan une famille d’immigrés italiens, au milieu de trois sœurs : Bella, Teresa et Gina.
SERIE :
Law and Order : Special Victims Unit.
ORIENTATION SEXUELLE :
Le très bavard Carisi parle de beaucoup de choses, mais très peu de sa vie privée et surtout amoureuse ou sexuelle, et pour cause : élevé dans une famille catholique assez pratiquante, il a vite eu le réflexe d’éviter de mentionner ses coups de coeur pour des hommes, ramenant plutôt des filles à présenter à ses parents. Il est attiré par les deux sexes et a eu un mal fou à l’accepter dans sa jeunesse – un complexe qui se répercute sur sa vie d’adulte, car même s’il a pleinement accepté cet état de fait, il éprouve toujours plus de difficulté à concrétiser une attirance pour un autre homme.
STATUT MATRIMONIAL :
Célibataire.
COMPOSITION FAMILLE :
Carisi vient d’une famille relativement nombreuse, dont tous les membres vivent encore principalement à Staten Island. Son père Francesco et sa mère Maria sont tous les deux retraités et vivent avec leur fille Gina, dont la vie chaotique la pousse souvent à rentrer chez ses parents. Sa sœur Teresa est un sacré cas elle aussi, et Bella a eu la merveilleuse idée de se marier à un ex-junkie (qui a heureusement réussi à convaincre le grand frère trop protecteur de sa bonne volonté). Il dit souvent que ses sœurs sont givrées, mais son affection pour elles est sans bornes. Et ne le lancez pas sur le sujet de sa nièce, encore bébé, il est intarissable. Un vrai tonton-gâteau.
MÉTIER :
Policier de son état, il a longtemps été gardien de la paix avant de grimper les échelons et accéder au titre d’inspecteur, errant d’affectation en affectation (son caractère réputé difficile ne lui a pas attiré beaucoup d’amis), avant d’échouer à la Special Victims Unit sous les ordres du lieutenant Olivia Benson, où il a trouvé sa place et considérablement progressé comme inspecteur et comme être humain. Ses aspirations le portaient également vers le droit, et il prenait des cours du soir à Fordham – aujourd’hui il officie comme garde du corps pour l’ADA Rafael Barba, un procureur qui a souvent collaboré avec la SVU et que Sonny tient en haute estime. Pas sûr que la réciproque soit vraie, par contre.
GROUPE :
It’s elementary, les autorités.

Feat Peter Scanavino
PHYSIQUE
• COULEUR DE TES YEUX :
Bleus tirant sur le gris, avec un vrai regard de cocker.
• COULEUR DE TES CHEVEUX :
Châtains foncés, bien que la couleur soit difficile à distinguer clairement sous la couche de gel qu’il persiste à mettre pour dompter sa crinière autrement rebelle.
• COULEUR DE TA PEAU :
Plutôt pâle, bien loin du mat méditerranéen de ses aïeux.
• CARRURE (musclé, svelte...) :
Assez grand du haut de son 1m83, Carisi est un homme à la silhouette svelte et élancée, tout en jambes et en bras probablement trop longs. Ce serait pourtant une erreur de le prendre pour une brindille : sans être particulièrement musclé, il a prouvé à maintes reprises en service disposer d’une force physique assez impressionnante et être capable de tenir tête à des mastodontes. Très bon en course à pied et en course-poursuite également, c’est un gars des rues qui a conservé et cultivé tous ses réflexes de jeunesse.
• DÉMARCHE (sensuelle, sautillante...) :
Dégingandé, Carisi peut aisément donner l’impression de ne pas trop maîtriser ses mouvements et surtout de ne pas tenir en place. Sa démarche est rapide et élancée, presque agressive malgré lui.
• GESTUELLE (raide, vigoureuse, molle...) :
Impatient et peu enclin à l’absence de mouvement, l’incapacité notoire de Carisi à rester immobile plus de cinq minutes est célèbre dans son service. Il a constamment besoin de bouger ou de changer de position, ses gestes sont désordonnés et probablement beaucoup trop nombreux pour tous les suivre. Il a le contact tactile très facile, avec ses proches comme avec de parfaits étrangers – non, Carisi n’a aucune notion d’espace privé, et à moins de le lui faire remarquer quatre ou cinq fois, vous avez peu de chance de le lui en faire prendre conscience.
• TICS (sourire, claquer des doigts...) :
En véritable italien, Carisi a hérité du tic familial – il parle énormément, toujours même, avec les mains. Ses mains sont un véritable support de communication appuyant son propos oral : il pointe, claque des doigts, mime, esquisse, souligne tout avec et ne semble même pas s’en apercevoir.
• STYLE VESTIMENTAIRE :
Lorsqu’il a commencé dans l’équipe de Benson, il ne faisait pas vraiment attention à la façon dont il s’habillait, optant pour le premier pantalon, la première chemise, et la première veste qui lui tombait sous la main avant d’enfiler un vieux manteau par-dessus. Un style qui a considérablement évolué au contact de Barba, toujours impeccablement vêtu : convaincu qu’un homme du barreau tout comme un inspecteur de police doit bien présenter pour convaincre, il fait beaucoup plus attention à la qualité de ses costumes, à les harmoniser, et arbore même de plus en plus le waistcoat sous sa veste.
• POUVOIR :
Son irrésistible enthousiasme.
• À L'AISE AVEC TON PHYSIQUE ?
Parfaitement à l’aise avec son corps, Carisi fait partie de ces rares personnes à ne jamais avoir vraiment eu le moindre complexes ur son physique – si on oublie les cheveux noyés sous une tonne de gel pour les faire tenir en place, mais c’est plutôt parce qu’il craignait que ça ne fasse pas sérieux dans sa vie professionnelle.
Crédit de tes images

IN YOUR MIND


   

WHAT'S HAPPENED ?


Soyons honnête, quand il a atterri ici, il ne s’est pas senti ultra-rassuré, le Carisi. Oh, il n’avait pas peur, ça non – il en faut plus qu’une téléportation pour l’effrayer, soyons sérieux – mais quand même, y avait de quoi vous foutre les jetons. Tout était tellement confus, cette histoire de failles, ces gens aussi perdus que lui, la nécessité de tout réorganiser de zéro, de quoi devenir zinzin, c’est sûr. Surtout qu’il était arrivé seul de son monde d’origine – enfin presque. Son escouade de la Special Victims Unit n’était nulle part, il n’avait pu trouver ni Benson, ni Rollins, ni Fin, pas même Dodds. Heureusement, il y avait Barba qui s’était retrouvé dans cette galère lui aussi – non que Carisi se réjouisse que Barba soit bloqué ici aussi, il est juste content de ne pas être tout seul arraché à leur monde d’origine. Au moins, ils ont pu se serrer les coudes : d’ailleurs, dès que Barba est devenu gérant d’un district, il l’a embauché comme garde du corps, après l’avoir entendu dire qu’il ne se sentait pas à sa place dans la nouvelle police de la ville, sans ses collègues habituels. Carisi a donc réussi à s’adapter après une petite période un rien compliquée. Il a renoncé à sa carrière d’inspecteur, au moins jusqu’à ce qu’ils ne trouvent un moyen de retourner chez eux, et se concentre sur son job de garde du corps et suit des cours de droit pendant son temps libre. Il est même bénévole au centre d’accueil pour les nouveaux arrivants, où sa gouaille et sa bonne humeur font des merveilles. Il affiche un air confiant, comme si ce n’était qu’une question de temps avant qu’ils ne trouvent une solution à leurs problèmes – mais il ne fait que cacher son anxiété soigneusement derrière son sourire et ses grands gestes des mains, désireux de n’inquiéter personne et de ne surtout pas laisser penser à Barba qu’il ne peut pas compter sur lui. Il garde donc son ressenti pour lui. Il se demande également ce qui a pu arriver à ses collègues, à sa famille, à ses proches – étaient-ils restés chez eux ? Avaient-ils remarqué son absence ? Et surtout, son travail d’inspecteur à la Special Victims Unit lui manque terriblement, même s’il ne l’admettra jamais, encore moins devant Barba qui a été assez généreux pour lui offrir ce job. C’est un boulot qui lui convient très bien, mais où il ne se sent pas autant à sa place que dans la police. Mais la police sans les autres, ce n’était pas la même chose, et il ne s’y sentait pas à sa place non plus…



PSYCHOLOGIE


• SUCRÉ OU SALÉ ?
En bon italien qui se respecte, Carisi aime la bonne chaire, et n’a aucune préférence entre le sucré et le sale, du moment que c’est bon. C’est d’ailleurs un cuisinier assez remarquable (il a tout appris de sa mère), et si vous lui demandez gentiment, il se fera un plaisir de vous faire goûter ses fameux cannellonis.
• EAU OU WHISKY ?
Assez peu connaisseur d’alcools, Carisi apprécie un bon whisky de temps à autre mais est plutôt amateur de bière ou de vin rouge.
• CHAT OU CHIEN ?
Définitivement chien – en particulier les gros chiens comme les St Bernard, les labradors ou les huskys. Il rêve d’en avoir un chez lui d’ailleurs, mais son appartement était trop petit. Les chats sont également des boules de poils capables de faire fondre son cœur, mais il les trouve trop mesquins par rapport aux canidés, qu’il préfère pour leur loyauté et leur affection.
• JOUR OU NUIT ?
Carisi est étonnamment sage pour un jeune homme dans la trentaine célibataire – ses soirées sont principalement dédiées à ses lectures pour ses cours du soir, même s’il ne rechigne jamais à une petite virée au bar avec ses camarades de classe ou son équipe. Mais avec un travail particulièrement prenant, ses nuits sont souvent dédiées au sommeil, et c’est le jour qu’il vit à fond à travers ses enquêtes.
• VENGEANCE OU PARDON ?
Bien que rancunier à l’extrême, Carisi n’est pas exactement adepte de la vengeance personnelle. Pour autant, il n’est pas du genre à pardonner facilement, même s’il s’est adouci depuis qu’il travaille avec Benson et les autres, apprenant à pardonner les erreurs humaines et condamner fermement la félonie.
• LIBERTÉ OU JUSTICE ?
La justice est un concept extrêmement important pour Carisi, raison pour laquelle il a rejoint la police et cherche maintenant à faire carrière dans la justice. Les crimes ne sauraient rester impunis avec lui, et l’injustice du système ou de la vie elle-même lui donne souvent la nausée ou envie de jeter son poing dans un mur.
• LOYAUTÉ OU FRANCHISE ?
Avec Carisi, l’un ne va pas sans l’autre. S’il n’hésite pas une seconde à mentir à un suspect pour lui arracher des informations, avec son équipe ou ses proches, il est plus loyal qu’un labrador et sera toujours au garde-à-vous dès qu’on a besoin de lui. Une fidélité admirable qui va hélas de pair avec une franchise désarmante dont il ne se rend même pas compte lui-même, et qui à l’occasion a provoqué quelques incidents diplomatiques. Il ne s’imagine tout simplement pas mentir ou obscurcir quoi que ce soit aux gens auxquels il tient, et tant pis pour les sensibilités froissées !
• BEAUTÉ OU INTELLIGENCE ?
Carisi est bien entendu sensible à la beauté, en particulier chez les femmes (chez les hommes il parlerait plutôt de charisme), mais un cerveau bien formé est ce qui finit immanquablement par le conquérir. Ne se considérant pas comme un génie lui-même, il a énormément d’admiration pour les gens à l’esprit vif, cultivés, à la réplique prompte et à la tête bien faite. Un personne au physique commun, mais très intelligente, aura toujours beaucoup plus de chances avec lui qu’une personne aux proportions idéales mais moyennement intelligente –ou pire, stupide.
• CE QUE TU PENSES DE LA DOULEUR ?
Evidemment, Carisi n’aime pas particulièrement la douleur – d’ailleurs il ne comprend pas les gens qui vont se faire tatouer et endurent l’aiguille pendant des heures juste pour se dessiner sur la peau. Mais il la supporte plutôt bien, et n’a pas peur de se prendre des coups pour résoudre une affaire ou appréhender un suspect.
• DE L'ARGENT ?
Carisi n’est clairement pas un homme riche, et cela lui est plutôt égal. Il est économe et ne gaspille par ses économies, mais il n’est pas avare et préfère simplement le dépenser en choses utiles ou pour faire plaisir aux autres.
• DE LA MORT ?
Tant qu’elle arrive le plus tard possible, elle ne le dérange pas. Pour lui comme pour ses proches d’ailleurs – il lui faut toujours trois jours de préparation mentale intense pour affronter un enterrement.
• DE L'AMOUR ?
Il ne l’a pas encore trouvé, avec son mode de vie trop instable, et il ne le cherche pas particulièrement. C’est une belle chose quand ça arrive aux autres, mais pour lui-même ? Il n’y croit que moyennement.
• TA RÉACTION LORSQUE TU AS PEUR ?
Carisi est un garçon certes assez sensible, mais pas facilement impressionnable, après des années dans la police à faire face aux affaires les plus tordues ou effarantes. Il n’a pas peur facilement, mais lorsque ça arrive, il fait tout pour garder son calme, essayant de se focaliser sur sa respiration ou les bruits ou le danger en face de lui – avec plus ou moins de succès, mais il essaye de transformer la peur en énergie motrice. Encore une fois, plus facile à dire qu’à faire pour un expressif comme lui.
• LORSQUE TU ES EN COLÈRE ?
Carisi a le sang chaud et n’essaye même pas de le cacher. Quand il est en colère, il parle fort, tape du poing sur la table, jette les bras en l’air dans un geste d’exaspération, ses yeux lancent des éclairs, et il a l’air de se retenir de frapper quelqu’un en faisant les cent pas. Il aboie heureusement plus qu’il ne mord, mais les colères de Carisi sont tout de même impressionnantes et mémorables. Sans compter qu’il s’emporte facilement.
• LORSQUE TU VEUX QUELQUE CHOSE ?
Lorsqu’il veut quelque chose, il est toujours prêt à travailler dur pour l’obtenir, quitte à marcher un peu sur les pieds des autres – même s’il ne fera jamais rien qui puisse aller contre l’intérêt d’un proche ou d’une connaissance qui a sa sympathie, il peut se montrer insistant, comme lorsqu’il a harcelé Barba pour que celui-ci le laisse l’assister lors d’un procès afin de se faire une première expérience du barreau.

CARACTÈRE

• TA PLUS GRANDE QUALITÉ ?
Une loyauté couplée à un certain courage. Lorsque Carisi fait une promesse, il s'y tient coûte que coûte, et ses proches savent qu'ils peuvent compter sur lui quelle que soit la situation et quel que soit le danger. Ce sont ces qualités qui en faisaient un si bon équipier quand il travaillait à la Special Victims Unit, et qui en font un ami plus solide que du roc, inébranlable dans sa loyauté et sa confiance envers ses proches.
• TON PLUS GRAND DÉFAUT ?
Le tact n'est pas exactement son point fort. Sa franchise peut même carrément provoquer des incidents diplomatiques : c'est un sanguin qui agit et parle beaucoup sur l'impulsion du moment, surtout quand la colère entre en jeu. Il est loin d'être irréfléchi, mais il se montre souvent très cash, et même brusque dans sa manière de s'adresser aux gens ou d'aborder certaines situations. Sans compter qu'il est très, très rancunier.
• TA PLUS GRANDE FAIBLESSE ?
Sa famille sans aucun doute, la perte de ses repères également. Il sait s'adapter, mais se jeter dans l'inconnu la tête la première n'est clairement pas dans sa nature, et il déteste se sentir déstabilisé.
• TA PLUS GRANDE FORCE ?
Sans doute son courage et sa détermination, qui le maintiennent à flots même dans les situations les plus compliquées ou dangereuses.
• TON CARACTÈRE (adjectifs principaux ou rédigé) :
Jovial - bavard - communicatif - impatient - rancunier - sanguin - bienveillant - curieux - tactile - optimiste - droit dans ses bottes - méticuleux - soucieux - protecteur - trop protecteur - honnête - franc - brut de décoffrage - épuisant - hyperactif - manipulateur quand le besoin s'en fait sentir - a des préjugés bien ancrés sur certaines choses, mais a beaucoup progressé depuis son arrivée à SVU.

Fiche de CaptainBen



Dernière édition par Sonny Carisi le Mar 16 Fév - 15:11, édité 5 fois
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MessageSujet: Re: Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi   Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi EmptyDim 14 Fév - 11:35





YOUR HISTORY

« Baby I was born ready. »
« Hey Richard ! Tape dans la balle, elle ne va pas te mordre, tu sais ! »
« Je le sais très bien ! Mais elle part de travers à chaque fois, vous êtes sûr qu’elle est de bonne qualité ? »

Les mains sur les hanches, Sonny considéra un moment le pauvre Richard tout perdu face à un ballon de football. L’espace d’un instant, il avait songé que ce serait une bonne idée d’introduire son nouvel ami aux sports de l’ère moderne, mais il devait bien avouer que la tâche s’annonçait plus difficile que prévu. Le pauvre homme regardait le ballon comme s’il s’était agi d’une méduse agressive, sa barbe broussailleuse frétillant de méfiance.

Un bref, très bref instant, Sonny se demanda quand même à quel moment sa vie avait pris un tournant mal calculé, pour qu’il se retrouve à essayer d’apprendre à un roi médiéval à la retraite à jouer au foot. Avec un lézard –pardon, un dragon- perché sur son épaule.

La vie n’avait pas trop mal commencé pour Dominick, dit Sonny, Carisi. Né à sur Staten Island, à New York, il venait d’une famille modeste, mais bien établie dans le quartier. Ses grands-parents, Gianluca et Annalisa Carisi, avaient été les premiers à poser le pied sur le continent, désireux de fuir une Italie en déroute et une Europe au bord de la guerre pour vivre leur propre rêve américain. Un pari en partie réussi, puisque le couple avait réussi à ouvrir une blanchisserie à Staten Island et à y élever ses trois fils, Giorgio, Marco et Francesco – le père de Sonny. Celui-ci avait trouvé du travail comme facteur et avait rencontré sa future épouse, Maria, lors d’une tournée. Elle était alors serveuse dans un des innombrables restaurants du quartier italien, et elle n’avait repris le travail qu’après avoir accouché de leurs quatre enfants : Sonny, Teresa, Gina et Bella.

Les Carisi n’avaient jamais roulé sur l’or, mais ils avaient des valeurs. Famille profondément catholique, les grands-parents, parents, enfants, oncles, tantes et cousins se retrouvaient systématiquement tous les dimanches à la messe, suivant le sermon en anglais avant d’enchaîner avec le repas dominical où l’on criait à tout va en italien. Même les dimanches pluvieux, il y avait chez eux un bout de soleil de leur Italie d’origine, une bonne humeur constante même dans les moments difficiles qui n’a jamais complètement quitté Sonny, l’aîné de la nouvelle génération. Pourtant la vie n’était pas toujours facile, entre l’argent qui venait parfois à manquer, les problèmes de voisinage avec les gangs italiens, et immanquablement, les frasques des gosses eux-mêmes. Un environnement imparfait, cabossé, mais que Sonny n’échangerait pour rien au monde. Ce sont les expériences de la vie qui forment l’homme, pas vrai ?

L’école n’avait jamais vraiment été son truc. Gamin rebelle et indocile, les cours l’ennuyaient, le programme le barbait, et les professeurs n’avaient aucune idée de comment gérer une classe. Il préférait largement sécher les cours pour aller traîner en ville avec sa bande de copains – comme les grands qu’il voyait avec leur clope au bec en train de lire des comics sur un muret au lieu de passer leurs examens. Des grands sous l’influence desquels il était bien vite tombé, se retrouvant embarqué dans des frasques bien plus grandes que lui dès l’âge de dix, onze ans. Oh il n’était pas une petite terreur des quartiers, loin de là – il servait la plupart du temps de messager ou de passeur pour quelques trafics un peu honteux, sans se mouiller plus que ça. S’il y avait bien une chose qu’il aimait encore moins que l’école, c’était décevoir sa famille. Aussi gardait-il ses petites affaires aussi discrètes que possible. Surtout qu’il avait beau essayer de jouer les durs, sa conscience malgré tout aigue de ce qui était bien et ce qui était mal ne cessait de le tarauder. Sonny n’était pas un mauvais garçon : il avait juste de mauvaises fréquentations. Des mauvaises fréquentations qui pouvaient le mettre dans de sérieux ennuis.
Il avait quatorze ans lorsqu’il se fit arrêter, pour la première (et heureusement la dernière) fois. Une histoire de drogues qui avait mal tourné, et dans laquelle il s’était fait attraper malgré lui alors même qu’il venait d’annoncer à sa bande vouloir arrêter. Heureusement pour lui, sa petite communauté était aussi solide que fidèle, et quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il vit le curé de sa paroisse venir payer sa caution et le sortir de là avec la promesse que son casier judiciaire resterait vierge. C’était la première fois qu’il se faisait attraper, il n’avait alors rien sur lui, et tout un chacun s’accordait à dire qu’il était un bon garçon toujours prêt à aider ses voisins ou garder les enfants. Un petit démon avait élu domicile sur son épaule, voilà tout. Les policiers acceptèrent de le relaxer. Sonny avait levé un regard confus vers le prêtre, qui s’était contenté de lui sourire et de lui proposer de parler.

Sonny n’avait plus jamais mis les pieds dans la moindre intrigue de rue.

Soutenu par le Père Edmund Morricone, il s’était remis aux études, non sans peine, mais avec un semblant de plaisir retrouvé. Ses notes avaient suffisamment remonté pour lui faire espérer qu’il obtiendrait son diplôme de fin d’études, et de gosse rebelle, il devint un adolescent enthousiaste et serviable. Toujours impétueux, impulsif, mais dont la gentillesse rare, en particulier envers les plus faibles, était toujours appréciée dans le quartier. Particulièrement protecteur envers ses trois cadettes, il s’était quelques fois heurté à des petits amis peu recommandables – mais Sonny avait appris à se battre dans la rue, et avait de beaux restes. On avait vite compris qu’il valait mieux ne pas lui chercher d’embrouilles, et à ses sœurs non plus. Oh, il n’était pas du genre macho-protecteur, certainement pas (ses sœurs lui avaient vite appris qu’elles savaient se débrouiller toutes seules, et sa mère lui donnait une claque derrière la tête s’il osait sous-entendre que ses sœurs avaient besoin d’un homme pour les protéger), mais ses sœurs savaient qu’elles pouvaient compter sur lui, quoiqu’il arrive. Et elles en abusaient sans scrupule, et sans malice.

C’est le Père Morricone qui lui avait parlé de la police lorsqu’était venu le temps de choisir une vocation. Sonny avait refusé tout de go la voie des études, persuadé qu’il n’y arriverait jamais, que ça n’était pas pour lui. Il avait envisagé l’armée, mais avait vite compris que les règles trop strictes ne lui conviendraient pas. Sans compter que s’engager dans le but de tuer, non merci. Ce qu’il voulait, c’était être utile, rendre service à la communauté. La police semblait être une voie toute indiquée. Il avait donc passé son diplôme de fin d’études, avec deux ans de retard, et avait soumis sa candidature pour l’académie de police à l’âge de vingt-et-un ans. Reçu par l’académie affiliée à la NYPD, il sut dès le premier jour qu’il était tombé au bon endroit. La formation mêlant cours théoriques, pratiques, et une bonne dose de sport, correspondait parfaitement à ses attentes et à ses compétences, et bientôt, il se surprit à ambitionner de faire une vraie carrière dans les forces de l’ordre. Le rêve américain des Carisi, troisième génération, en quelque sorte…

Il sortit de l’académie à vingt-quatre ans, avec le titre d’officier de police. Comme tout le monde, il commença au bas de l’échelle, patrouillant les rues pour coller des contraventions sur Staten Island, arborant fièrement son uniforme et son insigne flambant neuf. Sa famille rayonnait de fierté, elle aussi, et il devint une vraie star dans le quartier qui l’avait vu naître – même si d’anciens camarades de classe, qui avaient moins bien tourné que lui, lui avaient clairement fait comprendre qu’il s’était vendu au mauvais camp. Sonny ne s’en souciait guère. Il savait qu’il avait trouvé sa voie, et qu’elle était la bonne. Il faisait ce qu’il avait toujours rêvé de faire, se rendre utile, tout en pouvant garder un œil sur sa famille et aider ses parents qui n’étaient plus tout jeunes – en particulier sa mère qui avait des problèmes d’articulations qui finirent par l’empêcher de travailler. Déprimée par son inactivité, Maria sombra doucement dans la dépression – sans compter Gina qui déraillait complètement et s’improvisait un jour danseuse, un jour voyante, un jour actrice, un jour pleurait parce qu’elle n’arrivait à rien. Teresa, tout au contraire, avait épousé un chirurgien à l’âge de vingt ans et leur était revenue aux dîners de Noël, transformée en une caricature de jeune femme middle-class, obsédée par ce qu’elle mangeait, par l’environnement, et répétant sans cesse « Michael dit que… ». Jusqu’à son divorce quelques années plus tard, où elle jura de ne plus jamais se marier et rejoignit une sorte de groupe hippie parti explorer les Etats-Unis en van. Ses sœurs avaient définitivement un grain. Heureusement qu’il y avait Bella, sérieuse et travailleuse, pour rattraper le désastre. Il adorait ses sœurs malgré leurs excentricités, mais Bella était celle avec qui il s’entendait le mieux. Dommage qu’elle ait eu l’idée de tomber amoureuse et de vouloir épouser un pauvre loser qui finit par se retrouver en prison – mais elle l’attendit, et après moult désagréments, il finit par se ranger. Ils eurent une fille, la première nièce de Sonny, quelques mois à peine avant les problèmes des failles.

Sonny resta longtemps simple officier de police, son zèle et son caractère très affirmé en faisant à la fois un bon policier et un mauvais. Trop impulsif, trop désireux de bien faire, trop prompt à juger sans savoir, probablement. Il s’attirait rapidement l’antipathie de ses collègues qui n’avaient pas la patience de gérer cette recrue qui sautait trop vite aux conclusions et surtout questionnait beaucoup les décisions de ses supérieurs. Prenant ça pour de l’arrogance, alors qu’il voulait tout simplement comprendre (sans savoir le formuler diplomatiquement), ses supérieurs ralentirent sa carrière alors même qu’il voulait gravir les échelons et accéder enfin au rang d’inspecteur de police. Sonny n’en parlait évidemment à personne, prétendant parfaitement s’épanouir dans sa carrière, et n’en parle toujours pas aujourd’hui, mais ses dix premières années dans la police furent aussi difficiles que douloureuses. Le sentiment d’être à sa place qu’il avait éprouvé à l’académie avait disparu, et face à la réalité et l’injustice du terrain, il était complètement dépourvu. Alors il s’était endurci, arborant le masque de l’assurance et de l’insolence, bouillant à l’intérieur de son impuissance. Un officier de police ne servait à rien quand il s’agissait de résoudre des vrais problèmes – il devait se contenter d’obéir aux ordres, n’avait aucune initiative, devait laisser couler même le plus révoltant si c’était là ce que voulaient ses supérieurs. Une position intenable pour Sonny, qui s’accrocha pourtant, faute de mieux.

Enfin, à force de persévérance, il finit par être recommandé pour sa promotion, et l’obtint, plus de dix ans après ses débuts dans la police. Sa connaissance de la réalité du terrain et son expérience du contact avec les suspects et les interrogatoires avaient fini par payer, et il se retrouva en poste non pas aux homicides comme il l’avait d’abord espéré, mais à la Special Victims Unit de Staten Island, la section spéciale dédiée aux cas de violences et crimes à caractère sexuel. Qui avait eu l’idée de le mettre là, il n’en savait fichtrement rien, mais après tout, c’était mieux que rester patrouilleur toute sa vie. Il se mit au travail avec ardeur, mais encore une fois, son tempérament impétueux ne joua pas en sa faveur. Son manque de tact avec les victimes le desservait, et sa tendance à rentrer dans le lard des suspects agaçait profondément sa hiérarchie, qui le fit muter à Brooklyn au bout de deux mois, qui le fit muter dans le Queens après un mois, qui le fit muter à Manhattan au bout d’une semaine en répondant à l’appel d’offre du sergent Olivia Benson. Une mutation qui changea sa vie, enfin.

L’année et demi qui s’ensuivit était la meilleure que Carisi ait passée dans la police. Bien que ses rapports avec ses nouveaux collègues aient d’abord été à couteaux tirés, son éternel fichu caractère menaçant à nouveau de flinguer sa carrière, Olivia Benson avait eu suffisamment de patience, d’intelligence, et de talent pour lui apprendre les réflexes qu’il n’avait jamais eus. Dès son premier jour en service, il avait compris qu’il avait affaire à une chef exceptionnelle, et dès lors il s’était appliqué à l’observer attentivement, à l’imiter, et n’hésitait pas à poser des questions, même les plus difficiles, quitte à passer pour un idiot ou un insensible. Il voulait apprendre, comprendre. Il voulait devenir meilleur. Lui qui s’était enfin décidé à reprendre ses études, en commençant à prendre des cours du soir en droit à Fordham pour renforcer encore son profil d’inspecteur, apprenait enfin les ficelles du métier et de ce département de police si particulier. Sa coéquipière, Rollins, avait eu un mal fou à le supporter au début de leur collaboration, n’appréciant ni son arrogance ni ses préjugés, bien souvent, sur les victimes de viol ou leurs familles. Mais à force de travail acharné, à force de se faire reprendre, ça avait fini par rentrer. La Special Victims Unit était un monde à part, dans lequel il se modelait peu à peu. Benson était une Pygmalion remarquable, et de recrue non-désirée et passablement casse-pieds, Sonny devint un inspecteur efficace, profondément investi dans son travail, empathique, respectueux, sans avoir pour autant perdu de son efficacité dans les interrogatoires et les courses-poursuites. Grâce à son équipe, qui avaient parié sur lui au lieu de le muter comme les autres avaient pu le faire. Ses aspirations repartirent de plus belle, et il caressait l’espoir de passer un jour l’examen du barreau – tannant le procureur affilié à leur équipe, Rafael Barba, pour qu’il lui permette de le suivre en procès pour se faire une expérience du terrain. Ce dernier avait fini par céder, et les espoirs de Sonny quant à l’avenir n’en étaient que renouvelés.

Un an et demi au sein de cette équipe, avant que les failles ne s’ouvrent. D’une façon ou d’une autre, Carisi s’était retrouvé piégé dans l’une d’elles, et s’était un jour retrouvé dans un univers parallèle, seul et complètement désemparé. On l’avait conduit au centre d’identification du deuxième district, et on lui avait expliqué ce qu’il se passait, et ce qu’il allait se passer maintenant… Tant bien que mal, il s’était adapté. Il avait rejoint les forces de police, essayant de mettre son expertise au service de ceux encore plus paumés que lui, mais sans grand succès. Personne de l’escouade n’avait l’air d’être tombé dans une faille. Seul Barba avait débarqué, lui aussi, sans plus de repère que lui. Sonny était désolé pour lui – mais il ne pouvait s’empêcher de se sentir soulagé de retrouver un visage familier. Surtout celui de Barba, pour qui il nourrissait une sincère admiration, et qu’il aurait suivi dans n’importe quelle galère s’il lui avait demandé. C’est ce qu’il avait fait d’ailleurs, en devenant son garde du corps lorsque Barba devint gérant de son district. Et vu les derniers événements, la mort de ce jeune homme (Jeffrey ? Joeffrey ?) et le désastre des récoltes du 5ème district, il était bien content d’avoir quelqu’un de confiance à ses côtés.

Sonny ignorait ce que leur réservait l’avenir, si tout allait bien dans leur monde d’origine – si leurs amis s’inquiétait, si leurs familles avaient remarqué leurs absence, s’ils les reverraient un jour – mais il évitait d’en parler. Au lieu de ça, il se consacrait à son boulot, à Barba, à son travail de bénévolat au centre d’accueil et au club de football où il s’était improvisé coach pour les gamins. Il s’occupait l’esprit, comme il pouvait, en espérant que demain serait un jour meilleur, et qu’enfin, ils pourraient rentrer chez eux.

BEHIND THE SCREEN



Derrière ton écran

• PSEUDO :
Zabolac
• ÂGE :
22 ans.
• TON ACTIVITÉ :
Régulière, même si je réponds rarement dans l'heure, laissez-moi plutôt une semaine  Arrow
• LA DÉCOUVERTE DU FORUM :
Via une des fondas, qui s'est déjà reconnue il me semble  8D
• TON AVIS SUR LE FORUM :
Il est beau, et il sent bon le sable chaud  8D
• PETIT MOT DE LA FIN :
J'arrive

Fiche de CaptainBen



Dernière édition par Sonny Carisi le Mar 16 Fév - 18:49, édité 2 fois
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Elle Bishop
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MessageSujet: Re: Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi   Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi EmptyDim 14 Fév - 21:26

Bienvenue Sonny <3

Ton inscription fait des heureux ! (surtout un 8D)
J'ai hâte de voir ton personnage en jeu, bonne chance pour le reste de ta fiche ! Et puis comme d'habitude, si tu as des questions, n'hésites pas !
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Piper Halliwell
Piper Halliwell
The flying men
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MessageSujet: Re: Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi   Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi EmptyDim 14 Fév - 22:28

Bienvenue parmi nous
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MessageSujet: Re: Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi   Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi EmptyLun 15 Fév - 18:39

Merci à vous deux ! Hi J'ai cru entendre ça Elle, je vais faire ce que je peux pour vous pondre un chouette personnage alors 8D Pour l'instant tout va bien, mais si j'ai une question je n'hésiterai pas alors Gah
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Nathan Petrelli
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MessageSujet: Re: Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi   Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi EmptyLun 15 Fév - 21:31

Vous ici ? Je suis vraiment surprise, et choquée. Arrow

J'ai hâte d'en apprendre plus sur ce FAMEUX personnage (le fameux !) qu'on attendait (surtout une personne qu'on ne citera pas pour conserver son anonymat, c'est important de nos jours).
En tout cas, je m'occuperai de ta fiche (donc attention, tu peux avoir la pression Arrow ). Courage et n'hésites pas si tu as la moindre question, indeed ! ♥️
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Nathan Petrelli
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Nathan "conceal don't feel" Petrelli
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Emploi : Président du conseil.
MessageSujet: Re: Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi   Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi EmptyMar 16 Fév - 21:13



Félicitation ! Votre dossier est à jour.



Déjà mon Priest Kink, voilà. (même si c'est peu, c'est quand même Arrow). Ensuite même si je ne connais pas la série, je n'ai pas eu de cris de phoques dans l'oreillette, donc je pense que ça doit respecter le personnage. hahaha Ce qui ne m'étonne guère, sans compter que le tout est fluide, dynamique, et je l'aime beaucoup ce petit Sonny, c'est un personnage attachant. (Au grand bonheur de son heureux élu Arrow ) Et pour finir, tu intègres merveilleusement bien les failles, et le contexte dans l'histoire et la psychologie de ton perso c'est vraiment chouette de le constater. Cute

Afin de finaliser ta validation, merci de passer ICI pour recenser ton avatar et ton personnage (si celui-ci appartient à une série). Si tu souhaites un métier en particulier, c'est LA que ça se passe ; merci de nous le signaler afin que le poste te soit attribué !
Il se peut que tu souhaites un lieu, un endroit bien à toi (comme une maison, ou même un lieu pour ton travail !), si tu en as besoin, n'hésite pas à faire un tour sur ce SUJET, nous prendrons soin de répondre à ta demande !
Finalement, n'hésite pas à aller demander des LIENS ou des RPS avec les autres joueurs !

Amuses-toi bien parmi nous. Love





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MessageSujet: Re: Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi   Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi EmptyMar 16 Fév - 21:18

Tu sais déjà à quel point je t'aime Cute MERCI ENCORE Cute Please2
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MessageSujet: Re: Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi   Oh, by the way, you're under arrest. + Carisi Empty

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